LÉA RIVIÈRE

LÉA RIVIÈRE


Born in France, LÉA RIVIÈRE studied visual arts, drama and dance in Paris. She completed her studies at the Beaux-Arts in Geneva. Starting in 1984, exhibitions, seminar and study tours enriched her pictoral language. She has been living in Québec since 1990.

She started painting at a very young age with her uncle who taught her the essentials of painting. Her training at the Ecole des Beaux-Arts in Geneva gave her a profound understanding of abstraction, technicality and concept. Léa Rivère's artistic practice has been focusing on painting the female form, as well as horses; an interest that was derived from her earlier experiences of working in horse therapy. Her vast knowledge of anatomy and movement comes from her years of teaching, which enabled her to truly apprehend the true meaning of motion, form and figuration.

EDUCATION


École des Beaux-Arts de Genève 1984/1985


Stage «L’aquarelle de l’abstraction» avec Micheline Bousquet (Anecy) 1987


Stage de peintre à l’œuf «technique des anciens» avec Laurent Bonnet 1991


Stage d’aquarelle avec Jean-Paul Ladouceur et Nicole Foreman (Montréal) 1991 et 1994


Stage «Couleur et espace» aux Nouveau Ateliers d’art visuel avec Francine Labelle (Montréal) 1994 et 1995


Stage de peinture, techniques à l’œuf, à la cire et résines avec Tom Hopkins, Centre Saidy Bronfman (Montréal) mai 1995


Stage de gravure au Carborundum avec Michel Beaucage au Zacolo- atelier d’art de Longueuil, nov. 98


Stage de perfectionnement en gravure avec le peintre graveur Yvon David, mars 2001.

Originaire de France, Léa Rivière, expose dans de nombreuses galeries en Amérique du nord ainsi qu'en Europe et en Afrique. Elle est représentée à Montréal par la galerie Saint-Dizier depuis décembre 2011. Elle commence à peindre toute jeune avec son oncle, qui lui apprend les rudiments du métier. Sa formation à l'école des Beaux-arts de Genève lui donne une bonne connaissance de l'abstraction et de la technique. Établie au Canada en 1990. Elle peint depuis longtemps la femme mais aussi le cheval. L’artiste ne s’attache pas à rendre l’assise d’un cavalier, la véracité de la monte. Ce qui l’intéresse, est le rapport intime et non-dit du cavalier et du cheval, à la fois guide et protecteur.